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Éviter la maladie de NASH – Perte de poids par la chirurgie ou la liposuccion ?

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Éviter la maladie de NASH grâce à la perte de poids par la chirurgie ou la liposuccion ?  Nous sommes composés des radars internes qui nous indiquent le pouls de notre santé. La maladie de Nash en fait partie ! Ses signaux sont si forts qu’ils nous donnent l’envie d’apporter une réponse rapide comme la liposuccion. Le corps communique en continu permettant d’estimer si une perte de poids est nécessaire. Dans certains cas, le regard des autres et l’influence de ceux-ci peuvent agir sur nos actions. Mais le plus souvent, nous tombons sans nous rendre compte dans une routine nocive pour notre métabolisme. Et la routine, lorsqu’elle est faite de sucres sous toutes ses formes peut entraîner un épaississement de notre foie. Ce dernier grossit et réduit parallèlement le volume de ses opérations courantes pour notre corps. La maladie de Nash s’installe.   Qu’est-ce que la maladie de Nash Appelée couramment la maladie du foie gras, l’appellation NASH n’est pas arrivée par hasard. La « Non Alcoolique Stéatose Hépatique » est une maladie sournoise puisqu’on ne la voit pas survenir. Elle se traduit en un foie gras et saturé de sucres. Cela encrasse les différents processus de l’organisme. Le risque est d’arriver vers une cirrhose ou un cancer du foie. Les conséquences sont immédiates pour notre santé. Aussi, certaines personnes seraient tentées de trouver une parade express pour réduire le problème et perdre du poids rapidement. Comme par exemple la liposuccion, le drainage lymphatique ou encore la chirurgie bariatrique. Ce sont des solutions à court, moyen et long terme. Sauf que si le comportement alimentaire n’est pas modifié avant un tel acte, les amas de graisse vont simplement proliférer ailleurs sans pour autant corriger l’origine du problème. Sachez en premier lieu que si on trouve l’origine d’un problème, les symptômes disparaissent. En dehors des cas où le corps est déjà en nécrose ou en fibrose prononcée, cette phrase fonctionne à 100 %. En conséquence, si les symptômes perdurent, cela signifie que l’origine n’a pas clairement été identifiée. Origine de la maladie de Nash   Pour revenir sur la notion de poids et de perte de poids, l’appellation « foie gras » vient du gavage chez les canards ou les oies. Les origines du gavage du foie pour les canards dateraient de l’Egypte antique. Soit, plusieurs millénaires avant J.-C. Cette opération a probablement été transmise des Égyptiens aux Grecs pour atterrir plus tard dans la cour des Romains. Sachez également que la maladie de Nash touche plusieurs millions de Français. Un grand nombre d’entre eux n’en ont aucunement conscience. La Nash peut se définir comme un excès de sucre dans le foie qui arrête son travail pour l’organisme. Il suffirait donc de réduire le sucre pour que la perte de poids soit effective et que le foie perdre de son « gras ». C’était sans compter sur le travail de marketing et de communication qui a été mené par les industriels des années 1950 à nos jours. Pas une publicité ne vente les bienfaits de boissons sucrées, grasses et parfois les deux en même temps. La presse a longtemps combattu le gras sous plusieurs formes sans pour autant en faire de même avec le sucre. Certaines personnes évoquent encore le sujet des sucres rapides versus sucres lents alors que dans une vision de perte de poids pour éviter la maladie de Nash, le mal vient ailleurs. Et pour cause, le sucre qu’il soit rapide ou lent reste du sucre pour le foie, surtout lorsque l’alimentation moderne propose de l’amidon fermenté qui n’est autre que du sucre : pain blanc, pâtes alimentaires trop cuites… Chirurgie, la solution ? Face à une volonté de perte de poids rapide, certaines personnes sont tentées de s’orienter vers l’acte chirurgical comme la liposuccion ou la chirurgie bariatrique. Sauf qu’en amont d’une opération, une série d’examens est toujours préconisée afin de définir si un facteur de risque peut nuire à la volonté de perdre du poids sur une table d’opération. L’objectif étant de réduire le risque par une série d’actions préventives. Mais la chirurgie comme la liposuccion sont bénéfiques sur le plan cognitif puisqu’elles permettent de recentrer l’individu dans un corps voulu et en phase avec ses objectifs. Il ne manquera plus qu’à adapter une hygiène de vie cohérente face à ce nouveau corps et continuer en douceur la perte de poids initiée. Sauf que dans les faits, les personnes ayant effectué une chirurgie bariatrique ne changent pas leurs habitudes et maintiennent une routine dévastatrice à moyen terme. Et il en va de même pour la liposuccion. Bien des personnes ne changent pas les routines à l’origine de leur état au point qu’apparaissent de façon inattendue des amas de graisses autour du cou, des fesses ou des bras.   Changer son alimentation, la meilleure solution ! En résumé, pour combattre une stéatose hépatique telle que la maladie de NASH, un changement d’alimentation complet doit être effectué en amont de tout acte de chirurgie. La liposuccion peut être indiquée après coup, lorsque les efforts sont réguliers et suffisants, mais que les amas de gras restant font de la résistance à partir. Et si la prévention est efficace, la chirurgie bariatrique ne sera plus une priorité, le corps aura mis en place un nouveau process où la perte de poids deviendra la norme et non plus l’exception. Grâce à notre plateforme, vous aurez accès à un accompagnement préventif par notre équipe pluridisciplinaire pour vous aider à maigrir durablement. Contactez-nous pour vous aider avant d’en arriver à la chirurgie !   

Maigrir par le drainage lymphatique du ventre

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Maigrir par le drainage lymphatique du ventre, mythe et réalité  En médecine chinoise, le drainage lymphatique est préconisé pour le ventre. Mais également pour le visage et l’ensemble des parties du corps humain. Réputées pour faire maigrir et débloquer les canaux d’énergie, les techniques traditionnelles utilisent l’intensité de la pression sur la peau afin d’assurer une réaction vive. Sur nos terres françaises, le drainage lymphatique se traduit par un massage dynamique à base de rotations circulaires. Ce peut-être sur la zone de votre choix, le ventre ou les cuisses par exemple. Pour le ventre, la pression s’effectue autour du nombril à l’aide de la paume de la main. Notez que les contre-indications existent, avec une incidence plus ou moins grande sur la santé d’un individu. Parmi elles, notez la fragilité de la peau, la présence d’une maladie auto immune, une affection cutanée ou encore être sujet aux thromboses veineuses.   La lymphe au service de votre ventre   Une détoxication régulière du système lymphatique est d’une importance capitale pour la santé physique et psychique d’un individu. Or, la purge intestinale ainsi que la détoxication hépatique sont couramment cité au détriment du drainage lymphatique. Car la lymphe est l’épuratrice premier de notre organisme : débris cellulaires, déchets métaboliques, agents pathogènes ou encore toxines. Sans elle, difficile d’éliminer les déchets. Dit autrement, il devient plus complexe de maigrir sans son aide. Elle diffuse un liquide continu sous la forme d’un flux. Mais en cas de surcharge, le flux s’arrête et l’ensemble des déchets contenus sont bloqués et stagnent. Cette stagnation créera un œdème. De ce fait, toutes les substances toxiques ne seront plus évacuées et l’ensemble de la mécanique humaine s’encrassera et s’empoisonnera.   En résumé, comprenez que tout nettoyage aux étages inférieurs (foie, reins, intestins, etc.) se termine toujours par la lymphe. Une raison pour laquelle le drainage lymphatique du ventre est utile pour faciliter l’évacuation de vos déchets cellulaires les plus complexes.   Maigrir par le drainage grâce à la lymphe   Lors d’une inflammation, le réflexe premier du corps est de sécréter suffisamment d’éléments défensifs pour traiter le problème et aider à sa résolution. Cette action crée un effet de gonflement de la zone à l’image du genou qui gonfle après une collision forte. De la même manière, si un organe est encrassé régulièrement, ce dernier va doucement, mais sûrement s’approcher de l’inflammation. Dès lors qu’une inflammation commence, les organes sont compressés car en périphérie il y a œdème et gonflement. Autour du ventre, le gonflement ne permet pas de maigrir ou de stabiliser un tour de taille, surtout si l’inflammation est effective depuis plusieurs semaines, mois ou années. Et c’est précisément pour ce motif qu’un massage ou drainage lymphatique peut avoir une action concrète sur le fait de maigrir, sous conditions. Les conditions pour un amaigrissement par drainage réussi   D’une part, l’hygiène de vie doit porter une attention aux aliments contenant de grandes quantités de toxines et d’agents chimiques. Car ceux-ci modifient la durée de vie d’un aliment. D’autre part, la consommation en eau doit être suffisante pour permettre à l’ensemble du métabolisme de fonctionner. Sinon, cela risque de perturber l’arrivé des toxines récoltées dans la lymphe. Boire suffisamment d’eau permet de maigrir plus facilement. Surtout lorsque le drainage lymphatique est pratiqué avec régularité et assiduité.   Enfin, le sport et l’activité physique sont un remède de premier ordre pour aider la lymphe à fonctionner. Bien plus que maigrir du ventre, le sport permet à la lymphe et à son liquide de rester dans son flux. Il facilite l’évacuation des déchets les plus difficiles pour l’organisme. Pour illustrer ce propos, prenez le flux sanguin qui est en mouvement grâce à la pompe du cœur. Sachez que le sport agit comme la pompe première du système lymphatique. Drainer régulièrement sa lymphe permet non seulement de maigrir plus facilement, mais aussi de prévenir un grand nombre de maladies futures…   Si vous recherchez comment vous mettre au sport alors que vous êtes en surpoids ou en obésité, lisez cet article : Exercice pour perdre du poids.

Liposuccion du ventre

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Booster son foie est-il plus efficace qu’une liposuccion du ventre ? En matière de santé et dans la poursuite d’une perte de ventre, la liposuccion du ventre est couramment pratiquée. Cet acte chirurgical a été inventé dans les années 1960 – 1970 pour une population possédant des moyens financiers élevés. Puis, au fur et à mesure des années, la liposuccion (ventre) est entrée dans les mœurs pour devenir l’acte chirurgical de référence sur le plan national et mondial. En parallèle, plusieurs diététiciens et chercheurs en nutrition ont commencé à investiguer sur le foie et ses nombreuses propriétés. Leurs recherches les a mené à des informations précieuses ! En effet, ils ont découvert que le foie favoriserait plus facilement la perte de poids et l’amélioration générale de la santé. Cet article vous présentera les différences de stratégie de réduction du tour de taille entre la liposuccion du ventre et la prévention du foie.   Liposuccion ventre, qui, que, quoi, dont, où ?   Elle est considérée comme l’une des interventions chirurgicales les plus pratiquées au monde. La liposuccion du ventre est une action radicale pour l’organisme puisque le chirurgien va aspirer les excédents de graisse dans l’abdomen. Une intervention qui cible les amas graisseux rebelles ne résistant pas à la réduction de l’apport calorique autant qu’une pratique sportive régulière. C’est une opération très rentable pour de nombreux praticiens. La liposuccion du ventre est très rapidement conseillée. Pour éviter de nous faire taper sur les doigts par certains confrères, nous ne donnerons pas plus de détails. Mais sachez que bon nombre de personnes ayant eu recours à la chirurgie abdominale ont eu des effets en cascade qu’ils n’avaient pas imaginé. Liposuccion ventre : se préparer   L’acte de la liposuccion demande un temps de préparation à l’ensemble du corps humain. Une préparation du corps, mais aussi de l’esprit. Car la perception de soi en tant qu’être humain est régie par le mot habitude. Si un changement drastique apparaît et que le cerveau ne s’y est pas préparé, sachez que les effets peuvent être délétères pour le patient post-opération. D’autre part, pratiquer la liposuccion demande une préparation en amont et en aval de la chirurgie et cela doit être effectué des mois auparavant. Dans le cas contraire, plusieurs risques sont à prévoir comme la dépression. Mais celle-ci peut avoir des effets encore plus inattendus ! Par exemple, il a été constaté sur certains patients, une prise de graisses autour du cou, des fesses, des bras ou ailleurs. Les cellules enlevées durant l’intervention ne repousseront plus à l’endroit où elles ont été prélevées, mais partout ailleurs. Liposuccion ventre : un coup de pouce et non une fin en soit   Cependant, la liposuccion du ventre peut être efficace lorsque vous avez déjà atteint votre poids de forme. Si vous avez mis en place votre nouvelle routine et que votre poids est stabilisé, vous pouvez y aller. Attention pour cela, il faut que ce soit bien acté par votre hypothalamus et le noyau arqué hypothalamique. Car en l’absence de cette stabilisation, « l’effet yo-yo » d’une reprise de poids est garanti sans une activité physique soutenue. La liposuccion est intéressante pour le ventre uniquement si vous avez déjà essayé d’autres solutions. Par exemple, si vous constatez que malgré la stabilisation du corps, certains amas graisseux sont indifférents à l’effort physique ou à une restriction de l’apport calorique. Ne voyez donc pas la liposuccion du ventre comme une fin en soit. Elle nécessiteque votre comportement alimentaire soit modifié en amont. Voyez laliposuccion comme un coup de pouce ! Pour un corps en surpoids face à de bonnesroutines exécutées avec précision depuis plusieurs mois, sans le succèsescompté.   Préparer sa liposuccion grâce au foie ?   Le foie est un organe bien souvent sous-estimé. Souvent car il ne contient pas de terminaison nerveuse et ne peut donc pas communiquer pleinement avec son hôte. D’ailleurs, les douleurs identifiées en provenance du foie sont plus souvent dues à la vésicule biliaire, un vassal du foie avec l’aide du pancréas. Si la question sous-jacente est de savoir si la prévention du foie est plus efficace que l’acte de liposuccion du ventre. Et la réponse est assurément, oui ! Comprendre le foie, son rôle et surtout ses ennemis intimes permet de mieux saisir une grande partie de nos maux quotidiens. Sachez que la première réponse après l’absorption du sucre vient du foie qui va déléguer ensuite au pancréas la gestion de l’insuline. Sans ce chef d’orchestre, le reste des organes n’auraient pas la même efficacité, voire s’arrêteraient de fonctionner. Comprendre le fonctionnement de son foie   La première étape consiste en une compréhension profonde des liens de stockage de la graisse et de l’interaction avec le foie. Pour simplifier cette notion, prenons l’exemple des adipocytes. Ce sont des cellules graisseuses qui servent de réservoir graisseux à l’organisme. Or, le métabolisme humain est fait de logique et de prévision. Donc si vous lisez ces lignes, cela signifie que vous faites partie des survivants que nous sommes. L’alimentation quotidienne est faite de routine sans prévoir qu’en fin de course, c’est souvent le foie qui travaille. Et ce en double, triple ou quadruple !   En amont voire en dehors d’une liposuccion du ventre, sachez que de nombreuses routines encrassent notre foie. Notamment par des excès répétés dans l’organisme et à des horaires où ce dernier souhaiterait se libérer du temps pour se purger. Pour illustrer un exemple parlant, prenez le pain blanc… Maîtriser son alimentation pour aider son foie La consommation de pain blanc nécessite pour le foie un effort plus ou moins important. En consommer le matin permet de s’assurer d’une dépense du sucre ingéré dans la journée. Mais une consommation en soirée ne garantit pas la dépense énergétique suffisante pour tout brûler. Autrement dit, le pain consommé le matin est brûlé durant la journée. Mais le soir, cet amidon fermenté prédigéré qu’est le pain est stocké directement dans l’organisme, faute d’une dépense suffisante. En conséquence, le pain blanc finira dans

Chirurgie bariatrique : Acte 1

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Comment se déroule une chirurgie bariatrique ? La chirurgie bariatrique se définit comme une opération de réduction de la taille de l’estomac afin de manger moins et d’atteindre plus rapidement la satiété. Cet acte chirurgical est pratiqué en une journée en dehors de toute complication. Bien que pratiquée de par le monde, cet acte est soumis à un processus drastique. Il est en effet nécessaire de s’assurer que le patient choisisse la chirurgie en pleine conscience des conséquences à long terme. À ce titre, les contraintes de l’opération bariatrique ont une durée moyenne d’un an et demi. Une durée nécessaire pour faire perdurer de nouvelles habitudes liées à ce nouvel état.   Le parcours de soin d’une chirurgie bariatrique   En matière de parcours de soins, la chirurgie bariatrique n’échappe pas à la règle d’une opération non obligatoire : préparation médico-psychologique préopératoire suivie de l’acte de chirurgie pour finir par le suivi patient. Dans une phase précédente, l’éligibilité à la chirurgie bariatrique est discutée par une équipe pluridisciplinaire. Celle-ci doit valider plusieurs points avant de programmer l’opération :   Indications et contre-indications à la chirurgie du patient : un IMC minimum et maximum sont conseillés pour la réussite d’une opération. Justification de l’opération en cas de maladie dite chronique L’évaluation des Troubles du comportement alimentaire Volonté et la capacité du patient à appliquer les consignes postopératoires Sans ces premières validations, il sera impossible pour le patient d’avoir accès à l’opération bariatrique. De plus, une phase de dialogue et d’échange doit être instaurée entre l’équipe pluridisciplinaire et le patient. Il faut s’assurer que ce dernier possède une connaissance parfaite des risques et enjeux de l’opération. Car par définition, le corps n’a pas pour vocation à être ouvert : risques d’hémorragie, infections, phlébite. L’équipe de soins prodiguera une série de conseils et recommandations en fonction du profil du patient. Une fois cette étape validée, une seconde consultation commence. Avec cette fois pour finalité, la correction des risques de comorbidités constatés. L’objectif de cet examen complémentaire permet d’identifier tous les facteurs de risques connus avant l’intervention. Un bilan somatique est donc nécessaire pour s’assurer d’une plus grande chance de succès.   Les risques de comorbidité à identifier en amont d’une chirurgie bariatrique ?   Prélude à la chirurgie, un premier bilan biologique est établi. Ce dernier propose un premier panel de facteurs de risques primaires :   Mesure de l’hypertension artérielle Dépistage du diabète et du prédiabète Évaluation de la dyslipidémie Exploration fonctionnelle respiratoire ainsi qu’une gazométrie Exploration cardiovasculaire Exploration hépatique La prise en charge des comorbidités préopératoire est indispensable. Son intérêt est clairement démontré concernant l’hyperglycémie, l’asthme ou encore les syndromes d’apnée du sommeil. Sachez qu’un handicap respiratoire nécessite un accompagnement spécifique à la chirurgie. Sachez également que les sujets non préparés font régulièrement des complications respiratoires majeures. De même, une hypertension artérielle non équilibrée peut conduire à des poussées hypertensives. Dit autrement, le patient risque après sa chirurgie bariatrique de faire un AVC, des infarctus ou des pertes de fonctionnalité du ventricule gauche. Pour aller plus loin dans le fonctionnement d’une opération bariatrique, nous invitons à vous rendre sur l’onglet « Découvrir nos solutions » afin d’avoir accès à nos accompagnants.